17 juin 2021

BNP Paribas s'appuie sur les fintechs pour mener l'offensive dans le paiement

Intégrer au mieux les fonctions de paiement dans l'ensemble de leurs offres et pour tous leurs clients est devenu stratégique pour les banques. Coopérer avec les fintechs du secteur permet d'accélérer les délais de commercialisation et d'obtenir des solutions déclinables à l'international. Dans le domaine du paiement, BNP Paribas privilégie les partenariats techniques et commerciaux avec les start-up. Par Édouard Lederer Publié le 17 juin 2021 à 9:00Mis à jour le 17 juin 2021 à 9:02 Le sujet est devenu stratégique pour BNP Paribas, et les start-up constituent une partie de la solution : le groupe bancaire cherche à toujours mieux intégrer les services de paiement dans l'ensemble de ses métiers. « Les paiements sont au coeur du quotidien de nos clients, la transformation actuelle de ce domaine influe donc sur de nombreux volets de notre relation clients. C'est vrai pour les particuliers comme pour les marchands, pour qui l'enjeu est critique tant pour l'activité que pour le chiffre d'affaires. Renforcer les services de paiement, c'est renforcer d'autant la relation bancaire », explique Neil Pein, responsable transformation des moyens de paiement de BNP Paribas.......... Article complet sur abonnement dans les échos

16 juin 2021

Il est libre masque

Covid-19 : le port du masque à l'extérieur ne sera plus obligatoire dès jeudi, le couvre-feu levé dès dimanche Jean Castex a annoncé la levée de deux mesures phares de la lutte contre l'épidémie de coronavirus «sans attendre la date du 1er juillet», comme cela était initialement prévu. Par Le Figaro avec AFP Publié il y a 50 minutes, mis à jour il y a 23 minutes Jean Castex a annoncé, mercredi 16 juin, la levée du port du masque en extérieur dès jeudi. Celui-ci ne sera plus obligatoire sauf dans certaines circonstances (regroupement, lieux bondés, files d'attente, stade). «Les arrêtés préfectoraux seront modifiés dès demain», a précisé le premier ministre. Le port du masque restera obligatoire dans les lieux clos. Le couvre-feu à 23h sera, lui, levé dès dimanche 20 juin, soit avec dix jours d'avance sur le calendrier initial. «Cette mesure répondait à un vrai besoin, les très bons résultats enregistrés ne la justifient plus», a précisé le chef du gouvernement. Ces annonces interviennent dans le contexte d'une amélioration «plus rapide qu'espéré» de la situation sanitaire. La France se situe désormais «en-deçà du seuil des 5000 cas par jour». Cette amélioration s'applique à «l'ensemble du territoire», où «aucun département ne présente, à ce jour, de dynamique inquiétante», a précisé le premier ministre, qui a toutefois évoqué la vigilance particulière du gouvernement pour le cas de la Guyane. «Nous vivons un moment important, nous vivons un moment heureux d'une forme de retour à la vie normale», s'est félicité le responsable de l'exécutif, lors d'une conférence de presse à l'issue du Conseil de défense sanitaire puis du Conseil des ministres. Jean Castex a par ailleurs appelé les Français à se faire vacciner et fixé à «fin août» l'objectif de «35 millions de vaccinés avec deux doses». Face à la menace des variants, le chef du gouvernement a indiqué que les contrôles aux frontières seraient renforcés.

15 juin 2021

Espionnage de salariés: lourdes peines !

Espionnage de salariés : Ikea condamné à un million d'euros d'amende La branche française du géant suédois de l'ameublement comparaissait pour avoir mis en place un invraisemblable système de surveillance de ses salariés entre 2009 et 2012. L'ancien PDG d'Ikea France, Jean-Louis Baillot, a écopé de deux ans de prison avec sursis. La société Ikea Retail France a indiqué qu'elle allait étudier la décision du tribunal de Versailles et a ajouté réfléchir à prendre des mesures supplémentaires. Par Basile Dekonink Publié le 15 juin 2021 à 11:43Mis à jour le 15 juin 2021 à 13:31 « Merci de me dire si antécédent judiciaire, SVP, contre cette personne a priori déjà connue pour vol » ; « A priori gitan et considéré comme dangereux » ; « J'ai besoin de connaître l'état de son casier et surtout son train de vie »… Un peu moins de dix ans après la révélation des faits, la peine : Ikea France a été condamnée mardi à un million d'euros d'amende pour avoir mis en place, entre 2009 et 2012, un improbable système de surveillance de ses salariés - en particulier les syndiqués. Le tribunal correctionnel de Versailles a reconnu la filiale française du géant de l'ameublement et son PDG de 1996 à 2012, Jean-Louis Baillot, coupables de « recel de données à caractère personnel par un moyen frauduleux ». En d'autres termes : avoir eu recours à une société d'investigation et à des faux vendeurs pour passer au peigne fin la vie des employés les plus gênants (antécédents judiciaires, surveillance de comptes bancaires, patrimoine). Procès houleux Les peines sont toutefois moins lourdes que celles requises par le parquet de Versailles au terme d'un procès parfois houleux : celui-ci réclamait une peine « exemplaire » avec, notamment, deux millions d'euros d'amende pour Ikea France (le maximum prévu par la loi est de 3,75 millions d'euros) et un an de prison ferme pour Jean-Louis Baillot. Ce dernier a finalement été condamné à deux ans de prison avec sursis et à 50.000 euros d'amende. Parmi les autres condamnations : Jean-François Paris, l'ex-directeur de la gestion des risques d'Ikea, écope de 18 mois d'emprisonnement avec sursis et 10.000 euros d'amende ; Dariusz Rychert, le directeur financier de la filiale de 2009 à 2014, est lui condamné à un an de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende ; Jean-Pierre Fourès, qui dirige la société de « conseils en affaires » sollicitée par Ikea, Eirpace, hérite enfin d'une peine de deux ans de prison avec sursis et de 20.000 euros d'amende. Le successeur de Jean-Louis Baillot à la tête d'Ikea France, Stefan Vanoverbeke, a lui été relaxé, le tribunal retenant l'absence d'« éléments matériels » pour l'incriminer. La société Ikea Retail France a indiqué qu'elle allait étudier la décision du tribunal de Versailles et a ajouté réfléchir à prendre des mesures supplémentaires.

9 juin 2021

KIKIVA, alors ?

BNP Paribas peu pressé d'entrer au capital d'Orange Bank Les discussions entre BNP Paribas et Orange en vue d'une éventuelle entrée au capital de la banque mobile patinent. Orange Bank n'exclut pas qu'un groupe bancaire puisse prendre la relève de Groupama à son tour de table. Les échos.fr