28 mai 2013

Bilan Attribution des Parts Variables 2012.



Parts Variables 2012 versées en 2013 ( hors mandataires sociaux et membres du COMEX)

  • Parts variables dispositif Collectif : 3 193 166 euros distribués à 1104 personnes ( moyenne 2 892 euros)
  • Parts variables contractuelles: 5 212 553 euros distribués à 398 personnes (moyenne 13 096 euros )


Ces chiffres qui seront présentés au prochain CE sont déjà révoltant en l'état, d'année en année nous pouvons voir que la politique salariale menée par la Direction est toujours la même, mais cette fois, la Direction souhaite masquer la réalité qui encore pire!

La CFTC BPCE Sa demande que ces chiffres tronqués soient complétés par les Parts variables des mandataires sociaux et celles du comex.

27 mai 2013

AGENDA de la semaine du 27/5 au 31/5.



La CFTC de BPCE Sa vous souhaite une bonne semaine.
Au programme:
  • Lundi: commission économique.
  • Mardi: Préparation du comité d'entreprise.
  • Jeudi: comité d'entreprise
  • Vendredi: négociations des OS ( contrats de générations et intéressement)

24 mai 2013

Natixis lance une négociation sur l’emploi en amont de son plan stratégique



L'AGEFI
Industrie Financière
Amélie Laurin
24 mai 2013
La filiale cotée de BPCE va ouvrir le 4 juin des discussions marathon qui font craindre aux syndicats des coupes dans les effectifs
Natixis prépare à son tour un accord sur l’emploi après la Société Générale. Les syndicats sont convoqués le 4 juin pour des négociations qui devraient durer plusieurs semaines, a appris L’Agefi de quatre sources concordantes. Au menu: la gestion des carrières, la formation, les seniors, le contrat de génération… mais aussi «les modalités d'information et de consultation des partenaires sociaux sur les orientations stratégiques de l'entreprise» et «les dispositifs spécifiques en cas de réorganisation».Ces deux lignes de l’ordre du jour font craindre aux syndicats une remise à plat des relations sociales, à quelques mois de l’annonce du futur plan stratégique de Natixis et de sa maison-mère BPCE, repoussé à l’automne. En clair, la direction préparerait le terrain pour des suppressions de postes. «Nous attendons les propositions de la direction, mais nous anticipons qu’elle souhaite mettre en place un cadre pour de futures baisses d’effectifs, comme l’accord négocié à la Société Générale», déclare Francis Vergnaud, délégué syndical national du SNB CFE-CGC. Jusqu’à présent, elle refusait l’ouverture de discussions globales sur l’emploi, au motif que seule la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences de BPCE s’appliquait à Natixis ».«Nous craignons que les discussions visent à décliner l’Accord national sur l’emploi (ANI) qui offrira plus de flexibilité aux employeurs», indique un autre élu du personnel. Nous devrons désapprendre ce qui était en vigueur pour les plans sociaux jusqu'à présent, comme le montre le «test» mené dans la BFI l’an dernier». Au lieu de lancer un plan social dans sa banque de financement et d’investissement, comme en 2009, Natixis a misé sur les départs volontaires et les mobilités. Avec un succès relatif: seize mois plus tard, 109 suppressions de postes sont actées, sur les 131 prévues en France. A quelques mois du plan stratégique, «certains services se sentent d’ores et déjà visés», poursuit la deuxième source. Plusieurs élus citent les marchés actions, dont le patron a été débarqué, sur fond de rumeurs de cession ou arrêt de l’activité, ainsi que la conversation de titres pour le compte des clients des réseaux de BPCE. Ces deux métiers, jugés non rentables, sont pénalisés depuis plusieurs années par la faiblesse des volumes d’échanges sur les marchés actions. Contacté, Natixis n’a pas souhaité faire de commentaires.

23 mai 2013

Travail le dimanche: la CFTC demande aux députés PS de respecter la loi


Social-Eco - l'humanité.frle 21 Mai 2013

Le syndicat CFTC s'est "étonné" ce mardi que des députés PS réclament l'ouverture de magasins de bricolage le dimanche en Ile-de-France, estimant qu'un "élu de la République doit d'abord exiger des puissances de l'argent le respect de la loi".
Plusieurs députés socialistes ont récemment écrit au ministre du Travail Michel Sapin pour lui demander des dérogations à l'interdiction du travail dominical pour certaines enseignes de bricolage situées "aux côtés de jardineries ou de magasins de meubles", qui y sont, elles, autorisées sous certaines conditions. Parmi ces signataires: le chef de file des députés socialistes, Bruno Le Roux, élu de Seine-Saint-Denis. Et selon Olivier Faure, élu de Seine-et-Marne, le président de l'Assemblée Claude Bartolone, dont le fief est la Seine-Saint-Denis, leur a apporté son soutien.
Syndrome Cahuzac?
"Comment justifier auprès des petits trafiquants de banlieue qu'ils doivent respecter les lois de la République quand, à leur porte, des chaînes commerciales piétinent la loi et les décisions des tribunaux, pour un seul motif: faire de l'argent?", écrit dans un communiqué la CFTC Ile-de-France. "Ignorer les lois de la République quand on est un représentant de celle-ci, est-ce un syndrome Cahuzac?", poursuit le syndicat chrétien, très attaché au "principe du repos dominical qui permet la vie familiale, personnelle, associative et spirituelle".
Depuis quelques années, les syndicats multiplient les actions judiciaires contre les enseignes qui ouvrent le dimanche, journée théoriquement consacrée au repos hebdomadaire, mais sujette à de nombreuses dérogations et aménagements. De leur côté, les enseignes de bricolage réclament une modification de la législation pour avoir le droit d'ouvrir le dimanche comme les secteurs de l'ameublement et des jardineries.
Comme l'avait déjà affirmé en décembre dernier Michel Sapin, une évolution réglementaire pour élargir les dérogations n'est pas à l'ordre du jour, expliquait-on lundi au ministère du Travail.

22 mai 2013

L'AMF enquête sur Natixis et BPCE

Selon Les Echos de ce mardi 21 mai, l'Autorité des marchés financiers aurait ouvert une enquête sur les liens entre Natixis et sa maison-mère Banque Populaire Caisse d'Epargne. Le timing de l'annonce, et la flambée du cours de Bourse, ont attiré l'attention du régulateur.

J.M.
Le 21/05/2013 à 8:19 (BFM TV.com)
Natixis est dans le viseur de l'Autorité des marchés financiers. Selon les echos de ce mardi 21 mai, la réorganisation des liens entre la banque d'investissement et sa maison-mère, le groupe Banques Populaires Caisses d'Epargne (BPCE), ferait l'objet d'une enquête du gendarme français des marchés.
Cette opération, annoncée le 17 février dernier, revenait à vendre des titres permettant à Natixis de détenir 20% de BPCE, et faire ainsi remonter un cinquième du résultat de sa maison-mère dans ses comptes.
L'idée, à l'origine était de permettre à Natixis, banque d'investissement, de bénéficier des profits de la banque de détail, jugés plus stables dans le temps. Ce qui, selon François Pérol, le président du directoire de BPCE, n'avait désormais plus de sens.

Une hausse du cours de Bourse de 22,5%

Mais le timing de l'opération a posé plusieurs soucis. BPCE et Natixis l'avaient annoncée en même temps que leurs résultats un dimanche soir, quatre jours avant la date initialement programmée, le 21 février.
Des fuites ont, en effet, obligé l'état-major de BPCE à se réunir d'urgence et à annoncer le montage avec plusieurs jours d'avance. Le lendemain, le titre Natixis flambait de plus de 22% en Bourse, porté par la perspective de versement de dividendes.
Comme l'expliquent Les Echos, cette vente devait permettre de libérer du capital et distribuer 2 milliards d'euros à ses actionnaires, à raison d'un dividende de 65 centimes par action qui doit être versé en août prochain.
Dans la foulée, cette hausse soudaine du titre a poussé l'AMF à ouvrir une enquête auprès "des personnes initiées", c’est-à-dire l'ensemble des acteurs au courant de l'affaire.
Contactés par les Echos, ni BPCE ni l'AMF n'ont souhaité faire de commentaires.

La CFTC BPCE Sa demande à la direction des précisions sur cette enquête et sera attentive aux résultats de celle-ci

 

21 mai 2013

Agenda de la semaine du 21/5 au 24/5

La CFTC BPCE Sa vous souhaite une bonne semaine.
Au programme:

Vendredi: réunion des OS.
A l'ordre du jour: Négociations nouvel accord d'intéressement et contrats de génération.

16 mai 2013

Sécurité sociale : et si les remboursements dépendaient des revenus ?


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Une étude de la revue de l'Insee préconise une réforme du système de remboursement par la Sécurité sociale des soins de ville, basée sur la prise en compte du niveau de revenu des malades.


Un nouveau "gros" dossier s'ouvrirait pour les mutuelles !!!!!!!!

15 mai 2013

Les ménages vont pouvoir puiser dans leur épargne salariale dès juillet

G.Z | Publié le 14.05.2013, 09h37 | Mise à jour : 10h35, le parisien.fr 


L'Assemblée nationale vient de voter le déblocage exceptionnel des fonds versés par les entreprises à leurs salariés au titre de la participation et de l'intéressement. | (AFP/Joel Saget)
Les français vont pouvoir puiser un peu plus dans leur bas de laine. L'assemblée nationale a voté lundi 13 mai au soir le déblocage exceptionnel des fonds versés par les entreprises à leurs salariés au titre de la participation et de l'intéressement.

En principe ces sommes sont distribuées à certains salariés en fonction des bénéfices de l'entreprise et doivent rester bloquées durant cinq ans.
Pour autant, dans le but de relancer ou de soutenir la consommation qui reste l'un des leviers de la croissance et alors que les ménages voient leur pouvoir d'achat diminuer, François Hollande avait annoncé le 28 mars, la mise en oeuvre de ce dispositif pour une période restreinte de six mois.

20 000 euros à partir du 1er juillet

Dès le 1er juillet jusqu'au 31 décembre, les salariés pourront puiser jusqu'à 20 000 euros de cette épargne sans «pénalités fiscales», c'est à dire avec une exonération d'imposition sur le revenu, sauf pour les intérêts qui seront soumis à la CSG et au CRDS.

Ce déblocage en une seule fois sur tout ou partie des avoirs bloqués sera subordonné à un accord collectif d'entreprise ou, à défaut, à l'autorisation du chef d'entreprise.

Cependant le texte voté par les élus socialistes, écologistes, radicaux de gauche et UDI prévoit que les sommes placées sur les Plans d'épargne pour la retraite collective (Perco) ou dans les fonds solidaires ne seront pas concernés.

La consommation ne suit pas toujours

Ce type de mesure est un mécanisme qui est régulièrement utilisé en période de crise comme en 1994, en 1996, en 2004 et en 2008. Pour autant, les résultats ne sont forcément à la hauteur des espérances des politiques pour pousser les ménages à aller dans les magasins ou dans les concessions pour acheter des voitures.

Selon l'Insee, en 2004, si les salariés ont retiré en tout près de 7 milliards d'euros, la consommation n'a pas suivi. Cette année-là, les mesures pour relancer la croissance qui comprenaient notamment un déblocage de l'épargne salariale n'ont provoqué une hausse de la consommation qu'à hauteur de 1,5 à 2,5 milliards d'euros.

L'argent de l'épargne n'a pas été réinvesti mais épargné sur d'autres comptes, comme des livrets A ou des assurances-vie. C'est pourquoi, les députés ont d’ailleurs adopté un amendement imposant aux salariés de conserver les pièces justificatives de l’usage qui a été fait de leur participation pour des «achats des biens de consommation ou des prestations de services.» Reste que cela restera très difficile à vérifier.

9 millions de salariés en bénéficient

D'autre part, même si elle est de plus en plus répandue, tous les salariés ne bénéficient pas de cette épargne salariale. En 2010, selon la Dares, ils étaient environ 9 millions à en bénéficier (soit 57,3 % des salariés du secteur marchand non-agricole et essentiellement dans les grandes entreprises).

De plus, une minorité (10 %) d'entre eux détient l'essentiel de l'épargne salariale française (57 %). Par conséquent, ce dispositif ne va pas forcément servir les ménages les plus modestes et qui en ont le plus besoin.

Pour les autres, les fonds d'épargne salariale détenus par les salariés sont en moyenne de 7 300 euros et un salarié économise en moyenne 593 euros supplémentaires par an sur son Plan épargne entreprise (chiffres de 2010). Donc, cela ne devrait pas permettre de faire des gros achats. «Nous ne voulons pas fixer d’objectifs chiffrés de cette mesure et nous n’en attendons pas un effet massif mais elle aidera une partie des Français», a expliqué Catherine Lemorton, la député socialiste.

Arnaud Richard, député UMP a proposé de permettre aux salariés sans épargne de monétiser leurs RTT et de permettre aux TPE et PME de verser une prime exceptionnelle en fin d’année à leurs salariés. Mais ces deux amendements ont été refusés par la majorité à l'Assemblée.

La cftc bpce sa considère que"Les Présidents de la République se suivent et utilisent les mêmes recettes !
Les entreprises bloquent les salaires et crées la crise.
les Politiques n'osent pas s'attaquer à ce problème, alors la solution est tentante de faire consommer plus en utilisant les économies des salariés.
Vous ne savez pas, ce que sera votre retraite, vous n'êtes pas augmenter, mais on vous incite à utiliser vos économies pour maintenir votre niveau de vie et faire tourner la machine économique !
lorsque vous n'aurez plus d'économies vous faites comment ?
Nous pensons -nous que la sortie de la crise ne peut passer que par une relance de la politique salariale. "

14 mai 2013

Le bonus du PDG de Société Générale en hausse de 75%



La part variable de la rémunération de Frédéric Oudéa est passée à 1,19 million d'euros en 2012 (challenge.fr)

Et en même temps, la Société générale supprime plusieurs centaines d'emplois !!!!!!!!!!!

13 mai 2013

Politique sociale - La préparation de la deuxième conférence sociale est lancée



Dans une communication au Conseil des ministres du 7 mai 2013, le Premier ministre a annoncé qu'il recevra lors d’entretiens bilatéraux, avec les ministres concernés, les huit organisations syndicales représentatives des salariés (CGT, CFDT, CGT-FO, CFE-CGC, CFTC) et des employeurs (Medef, CGPME, UPA) le lundi 13 mai, afin de préparer la deuxième conférence sociale, qui aura lieu les 20 et 21 juin.
  • Les organisations non représentatives au plan interprofessionnel seront également reçues mais dans un second temps.
  • De plus, une conférence de méthode réunira les huit organisations représentatives le 22 mai afin de déterminer l’ordre du jour précis de la conférence

7 mai 2013

Nouvelle provocation de F Pérol.


Voici le message transmis par F Pérol aux salariés pour la publication des résultats du premier trimestre:

"Notre Groupe publie ce soir des résultats solides pour le premier trimestre de l’année 2013. Notre résultat net s’établit ainsi à 754 millions d’euros, soit une progression de plus de 13% sur un an".

"Au nom du Comité exécutif du Groupe, je tenais à remercier chacune et chacun d’entre vous pour ces bons résultats, qui sont dus à votre engagement et votre professionnalisme. Ils nous permettent d’aborder avec confiance l’année 2013 même si cette année ne devrait pas se traduire par une amélioration des conditions économiques en France et en Europe."

Dans le contexte des NAO bloquant les salaires d'une grande partie d'entre nous depuis plusieurs années, une baisse très importante de l'intéressement, toujours pas de participation, de nombreux litiges sur les calculs des parts variables et la perte d'un grand nombre d'avantages lors de la fusion, tout en n'oubliant pas de récompenser les actionnaires de Natixis, oui nous considérons ce message comme une pure provocation.

Nous pourrions nous habituer, tant c'est fréquent, mais , non ! 

2 mai 2013

Salariés ce n’est pas à vous de régler les PV

 
Une décision de la Cour de Cassation du 17 avril 2013 – N°752 vient de préciser qu’un salarié n’a pas à rembourser à son patron le coût de ses excès de vitesse ou de ses contraventions au stationnement commis avec la voiture de l’entreprise et ce, même si le contrat de travail prévoit le contraire.
Pour les juges de Cassation, faire payer le salarié, reviendrait à lui imposer une retenue sur salaire ou une amende patronale illicite.
Aucune convention, aucun contrat ne peut étendre les cas de responsabilité d’un salarié envers son entreprise selon le principe que le salarié n’assume pas le risque de l’entreprise