Frères d'ovalie est une association à but non lucratif venant en aide à Madagascar, à des écoles d'handicapés et de valides, ainsi qu'à un orphelinat et bien sûr, comme son nom l'indique à une école de Rugby.
Elle est composée uniquement de bénévoles et fonctionne sur base de dons financiers ou en nature, émanant de particuliers, d'entreprises, de collectivités locales ou d'association.
Consultez notre site:
freresovalie.fr
La CFTC de BPCE SA, a souhaité soutenir " frères d'ovalie" , si vous aussi vous pensez pouvoir nous aider, que vous soyez des particuliers, entreprises, associations, écoles, club de rugby,institutionnels), vous trouverez sur notre site, les besoins que nous avons répertories, ainsi que les moyens de nous contacter ou de faire parvenir vos contributions.
les élections professionnelles ont donné le résultat suivant:
UNSA: 57.61%
SNB: 17.04 %
CFTC 13.59%
CFDT 11.70 %
La CFTC a baissé, mais a conservé ses 2 élus cadres au Comité d'entreprise
elle a perdu ses élus techniciens dans un contexte de réduction drastique du nombre de TECH a BPCE
En délégués du personnel: la CFTC a conservé 2 élus cadres, elle en a perdu 2, mais le nombre de postes ouverts était réduit de 4 (2 tit et 2 supp)
elle a perdu ses élus techniciens dans un contexte de réduction drastique du nombre de TECH a BPCE Nous n'avons pas réussi à faire passer l'UNSA sous la 50% et nous le regrettons, car elle a maintenant 4 ans pour signer seule tout type d'accord. Les trois syndicats majoritaires même ensemble, ne pourront s'opposer à rien. Dans le cas de la loi El Khomri, dans le cas où les trois minoritaires signeraient un accord et pas l'UNSA, l'entreprise devrait organiser un référendum d'entreprise pour qu'il soit valable ( c'est pas fait !)
Dans ce nouveau contexte, vous pouvez toujours compter sur nous pour vous assister, n'hésitez MERCI à tous pour votre participation MERCI de nous avoir choisi MERCI pour votre soutien MERCI pour la confiance MERCI d'oser vouloir Renoncer à la fatalité Oser, réinventer, travailler dans la dignité Refuser l'inacceptable et anticiper l'indémodable Choisir, vouloir et être Etre une façon de vivre ensemble La simplicité plutôt que l'ornementation L'authenticité plutôt que le dogme Ignorer les révérences Revendiquer un cœur Choisir l'audace Vouloir être soi-même Etre de ce qui va arriver Vouloir que les femmes et les hommes Osent, réinventent, travaillent au nom de valeurs élémentaires Car la vie d'une femme, la vie d'un homme, quelle qu'elle soit, quel qu'il soit, n'a pas de prix et n'est pas qu'une voix de plus ou de moins dans un scrutin.
Les entreprises du CAC 40 ont dégagé un bénéfice supérieur à 75
milliards d'euros, une performance qui n'avait pas été atteinte depuis 2010.
Dans ce contexte, les actionnaires vont voir leurs dividendes augmenter
2016 sera une année
prolifique pour les entreprises du CAC 40. Selon une étude du cabinet Ricol
Lasteyrie Corporate Finance, 38 des 40 entreprises de l'indice phare de la
bourse de Paris ont vu leurs bénéfices flamber de 32,6% pour atteindre plus de
75 milliards d'euros. Du jamais vu depuis 2010 !
Selon les
analystes, cette performance intervient pourtant dans un contexte decroissance molleavec
une année difficile dans certaines zones du monde comme au Bresil, Nigéria,
Russie mais aussi en Europe. Selon les analystes, les performances des grands
groupes français s'explique en partie grâce aux actions entreprises pour une
meilleure maîtrise des coûts.
Comme en
2015, le podium des plus gros bénéfices en 2016 reste dominé par laBNP Paribaspuis par AXA et Total. (7,7 milliards
d'euros) , devance toujours AXA (5,8 milliards) et Total (5,6 milliards).
Le secteur automobile retrouve
aussi sa bonne santé. Renault a engrangé un bénéfice de 3,4
milliards d'euros en hausse de 21,1% par rapport à l'année précédente. Chez PSA
qui vient de s'offrir Opel, la performance est encore plus spectaculaire avec
un résultat 1,7 milliard d'euros en hausse de 92,4% ! A noter la bonne
performance de Bouygues avec 723 millions d'euros en hausse de 81,6%. De son
côté, la foncière Klépierre qui va bientôt être remplacée par Atos dans le CAC
40 a vu son résultat progresser de 333 % à 1,1 milliard d'euros.
Seulement
trois entreprises plongent dans le rouge. Si Engie a divisé son déficit par 10
par rapport à 2015, sa perte est encore de 415 millions d'euros. Nokia-Alcatel
et Publicis ont aussi été chahutés.
Les actionnaires
gagnants
Ces
résultats vont bénéficier aux actionnaires. Les stars de la cote vont
distribuer près de 45 milliards d'euros. Ainsi le rendement moyen de l’indice
sera de l'ordre de 3,4 %, ce qui reste largement supérieur aux obligations d'Etat.
Dans l'automobile, Renault augmente son coupon de 31% par rapport à 2015 à 3,15
euros par action. Peugeot SA reprend une distribution (0,48 euro) pour la
première fois depuis 2011 de dividendes. Michelin et Valeo ont fait progresser
leur rémunération de 14% et 25%.
Malgré
des pertes, Publicis pour faire de l'oeil à ses actionnaires va de son côté
augmenter de 15,6% malgré ses pertes. Idem pour Airbus qui passe son taux de
distribution à 105% contre 40% l'an passé malgré une chute de 631% de ses résultats
en raison de charges exceptionnelles.
Bonnes perspectives
pour 2017
Pour 2017,
la situation devrait être encore plus favorable pour les entreprises
françaises. Même si les élections présidentielles en France sont une source
d'inquiétudes, plusieurs éléments vont dans le bon sens comme les dépenses sur
les infrastructures aux Etats-Unis promises par Donald Trump, la reprise dans
les pays émergents et la fin de la déflation dans certaines zones ce qui va
permettre aux entreprises d'augmenter leurs tarifs.
Notre avis:
Groupe BPCE : 4 milliards de résultats en augmentation de 27%
Un contexte difficile évoqué par la DRH en NAO.
Une augmentation de 0.4% pour les salaires inférieurs à 60 KE !!!
Réveil en sursaut de la DRH, qui cette fois se précipite avant même que la CFTC ait remis ses demandes.
Une séance surréaliste et pour tout dire totalement bâclée.
la Direction a annoncé que compte tenu de la très mauvaise situation économique ( résultat du Groupe 4 milliards en hausse de 27 % !!!) les augmentations seront très limitées.
La DIRECTION MET A LA SIGNATURE, UN ACCORD, AUGMENTANT LES SALAIRES DE MOINS DE 60 KE de 0.4%
La CFTC a transmis ses demandes à la DIRECTION après, sans qu'elle en tienne compte.
nous vous les détaillerons après délais de signature du projet de la direction Info du DRH: Un salarié de BPCE Sa est augmenté en moyenne tous les 3 ans !!! Pas vous ? écrivez à la DRH, vous avez été oubliés
Aucun employeur ne peut rompre le contrat de travail d’une salariée lorsqu’elle est en état de grossesse médicalement constaté, pendant l’intégralité des périodes de suspension du contrat de travail auxquelles elle a droit au titre du congé de maternité, qu’elle use ou non de ce droit, et au titre des congés payés pris immédiatement après le congé de maternité ainsi que pendant les dix semaines suivant l’expiration de ces périodes.
Il résulte d’un arrêt rendu le 1er février 2017 par la Cour de cassation que le fait d’examiner avec une salariée, durant son congé de maternité, les modalités de son futur licenciement économique est une mesure préparatoire prohibée, qui rend nul le licenciement prononcé à l’expiration de la période de protection.
C’est en s’appuyant sur l’article 10 de la directive 92/85/CEE du 19 octobre 1992 sur les travailleuses enceintes, que la Cour de cassation a largement dépassé l’interdiction légale de signifier la rupture du contrat durant le congé de maternité, en prohibant la prise de « mesures préparatoires au licenciement ».
L’arrêt du 1er février rejette le pourvoi formé par un employeur à l’encontre d’un arrêt de cour d’appel ayant retenu l’existence d’actes préparatoires au licenciement pour motif économique. Bien que le licenciement ait été prononcé près de deux mois après la fin du congé de maternité la cour d’appel a constaté l’existence, pendant le congé de maternité, d’actes préparatoires au licenciement de la salariée.
Interrogés sur les transformations du travail, les Français se disent attachés à leur temps libre. Ils ont aussi intégré l’idée d’une flexibilité accrue du contrat de travail.
par Virginie Leblanc 28/03/2017 Entreprise & Carrières
Les Français interrogés sur leurs priorités dans leur travail, désignent comme première préoccupation le fait de préserver assez de temps libre (47 %) ! Devant l’assurance de disposer de revenus réguliers (44 %). Juste ensuite, vient la question du sens qu’ils peuvent trouver dans leur travail (41 %). Tels sont les premiers résultats marquants d’une étude* menée par JLL, conseil en immobilier d’entreprise, auprès de 1 009 actifs*, intitulée “Travail liquide, augmenté, disrupté – Pour quel futur les Français sont-ils prêts ?”, dont Entreprise & Carrières a obtenu l’exclusivité. L’objectif étant de comprendre quelle sera la portée des transformations technologiques sur leur travail.
Flexibilité accrue. « Les Français sont très attachés à leur qualité de vie au travail, à l’équilibre des temps entre vie professionnelle et personnelle, souligne Flore Pradère, responsable de la recherche entreprise chez JLL. Toutefois, face à un environnement économique de plus en plus chahuté et “disrupté”, ils aspirent bien plus au changement que ce que l’on pourrait penser. Contre toute attente, ils croient davantage en une flexibilité accrue du contrat de travail, qu’en la fin de la hiérarchie – 17 % seulement jugent ce scénario crédible, tandis que 53 % croient en la fin du CDI. » Avantage du travail flexible pour eux : la possibilité de sélectionner leurs missions et de personnaliser leur rythme de travail.
“Alternactifs”. En outre, 70 % des Français considèrent que les bouleversements du monde du travail influenceront leur métier, et deux tiers les réprouvent, craignant une dégradation de leurs conditions de travail. Parmi les quatre travailleurs sur dix qui se déclarent confiants, les “alternactifs”* sont séduits par l’idée que de nouveaux métiers pourront émerger.
Fin du bureau attitré. Autre évolution analysée par l’étude : « Bousculant les projections communément admises, les Français semblent avoir déjà bien intégré l’idée que l’avenir ne sera plus au bureau attitré : 59 % estiment crédible ce scénario. Et 70 % des actifs interrogés plébiscitent l’idée de smartbuildings : des immeubles intelligents qui leur permettraient de paramétrer au plus juste leurs activités. À l’avenir, ils viendront dans l’entreprise pour collaborer, coopérer, cocréer, et pour y trouver le plus grand confort possible », observe Flore Pradère.
* Enquête en ligne réalisée par l’institut CSA auprès de 1 009 actifs. Parmi eux, 897 salariés et 112 “alternactifs”, autoentrepreneurs à plein temps ou cumulant un emploi salarié et une activité indépendante.
Tout était prêt, manquait « juste » le locataire pour commencer les travaux. Le deal a été signé vendredi dernier :
la banque Natixis (groupe BPCE) s'installera d'ici à quatre ans dans les 90.000 mètres carrés de bureaux du projet « Duo », dessiné par Jean Nouvel pour le propriétaire de ces lieux encore virtuels, la foncière Ivanhoe Cambridge, filiale immobilière de la Caisse des dépôts du Quebec. Implantées au bord du périphérique, au bout de l'avenue de France dans le 13e arrondissement, les deux tours, de 122 et 180 mètres, tout en angles, que l'architecte a voulu comme désaxées et en équilibre instable, vont nettement modifier le paysage du quartier d'affaires, en transformation depuis vingt ans. Vinci devrait démarrer les travaux d'infrastructure dès cette semaine. Outre les espaces de bureaux modernes, généreusement éclairés, arborés même en hauteur, les tours abriteront un hôtel, un « sky bar » découvrant des vues inédites sur Paris et sa banlieue. Au rez-de-chaussée, des commerces et une sortie de métro de la ligne 10 devraient garantir une certaine porosité avec la rue et la ville.
L'investissement - qu'Ivanhoe Cambridge ne souhaite pas communiquer, pas plus que le loyer payé par Natixis - dépasse les 500 millions d'euros et vient conforter la bonne santé du marché immobilier francilien, qui a consommé près de 20 milliards d'euros en 2016. Il confirme aussi le besoin des entreprises de regrouper leurs troupes dans des espaces plus fonctionnels. La banque, qui emploie 16.000 personnes dont plus de 10.000 en France, est aujourd'hui installée dans une myriade d'immeubles avenue Pierre-Mendès-France, non loin de son futur siège, et autour de la gare de Lyon. Bill Tresham, le patron monde d'Ivanhoe Cambridge, venu à Paris pour la signature, mesure l'aubaine : « Un tel contrat, quatre ans à l'avance, c'est historique ! Les tours étaient sur le marché depuis 2013. » Il s'était engagé auprès de la Ville à ne pas commencer les travaux avant d'avoir préloué la moitié des surfaces. Ce chantier souligne aussi une moindre aversion des Parisiens pour la hauteur. Le débat est encore vif depuis la fin de la construction du quartier de Beaugrenelle dans les années 1980. Pourtant, aucun recours contre le permis des tours Duo. A l'autre bout de la ville, le Palais de justice, qui culmine à 160 mètres, sera bientôt achevé et la tour Triangle, porte de Versailles, attend ses autorisations définitives pour grimper jusqu'à 180. D'autres sont en projet : deux tours à côté de Duo, six de l'autre côté de la Seine sur la zone Bercy Charenton. Autant de portes monumentales qui marquent clairement, au sein du Grand Paris, le territoire et les limites de la capitale.
L' UNSA BPCE avait signé seule l’accord 2013-2015. Le nouvel accord portant sur 2016-18 a repris l’essentiel du précédent, en introduisant simplement un critère supplémentaire (la satisfaction des Banques et des Caisses). Nous avons été rejoints l’été dernier par l’ensemble des organisations syndicales de BPCE (à l’exception de la CFTC), qui ont signé avec nous ce nouvel accord, qui produit maintenant ses premiers effets.
L’an dernier, le montant versé aux salariés a été de 14,1 M€. Il sera cette année de 13,3 M€.
Soit un montant équivalent à celui versé en 2015.
Ce résultat, obtenu dans un contexte difficile ....................
Voilà ce qu'écrivait l'UNSA BPCE Sa, dans son blog le 22/3/17 ( c'est leur sujet favori ) Notre avis: Voici les résultats 2016 publiés par le Groupe en 2017 : Résultat net part du groupe publié de 4 Md€, en hausse de 26,7 % C'est ça un contexte difficile !!! L’intéressement baisse, nous avions signalé lors de la négociation que ça allait être le cas, mais l'UNSA l'a signé quand même ! A partir de ce moment l'accord était valable et non opposable ( plus de 50% de représentativité) par cette seule signature. Ce qui nous étonne encore plus, ce sont les signatures de la CFDT et du SNB qui n'avaient pas signé , l'accord précédent et qui ont signé celui qui produit moins, tout en sachant que leurs signatures n'ajoutaient rien ou ne retiraient rien à la validité de cet accord !!
Les quatre organisations syndicales tractaient en même temps ( demain c'est le dernier jour de campagne, ouf !)
Résultats:
Une impressionnante quantité de papier gaspillée et nous en sommes désolés !
Nous avons essayé depuis des années de limiter au maximum les impressions papier et privilégions le digital, au travers de ce blog ( 1345 messages et presque 500 000 pages lues), mais certains sont encore hermétiques à ce type de communication.
Nous avions poussé au maximum lors de la négociation du protocole électoral pour pouvoir diffuser par messagerie électronique ( en limitant en nombre et volume) , mais malgré tout ce que prône F Pérol sur le digital, la DRH a refusé et a laissé la porte grande ouverte au massacre des arbres.
Ce manque d'évolution des mentalités est vraiment dramatique
les choses bougent dans le réseau. document ci-après sur les 15 engagements pour l'équilibre des temps de vie, signés par les DG des Banques Populaires
Infos
Philippe Malizia, vient d'être nommé par la Fédération Banque CFTC, pour négocier à l'Association Française de Banques ( une très grande partie des banques françaises) les dossiers Qualité de Vie au travail et Télétravail.
Même si nous avons le sentiment que la DRH de BPCE Sa dort tranquillement sur ces dossiers, nous aurons peut être une entrée par la voie de notre convention collective (AFB)
Rappel:
toujours pas de fin de NAO à BPCE Sa (initialisée en octobre)
la DRH n'a pas demandé les revendications des OS et n'a rien proposé
Il est vrai, que le syndicat majoritaire pousse mollement le dossier ( c'est peu dire ! ), nous rappelons que cette négociation annuelle est légalement obligatoire.
la CFTC propose aux autres organisations syndicales représentatives de BPCE Sa, de co-signer un courrier a adresser à la DIRECCTE ( ministère du travail ) pour dénoncer cette situation.
• Une équipe soudée par des valeurs humaines fortes.
• Une formidable envie de servir et d'être utiles aux
salariés.
• Agir aux cotés de tous les collaborateurs qui ont besoin
d'aide dans des périodes difficiles;
souvent sollicités, nous avons épaulé, défendu un certain
nombre d'entre vous, que ce soit
dans des situations délicates mais aussi pour la défense des
causes justes comme
l'égalité professionnelle, une rémunération juste
et équitable
pour
tous, la protection du salarié face aux pressions de toutes sortes.
De plus, nos nombreux candidats émanant de multiples directions, seront plus à même de vous écouter, de vous connaitre et de mieux comprendre vos conditions de travail.
A vous de repérer dans notre liste, celui qui est le plus proche de vous, n'hésiter pas à le contacter ! Infos complémentaires:
L'élection du comité d'entreprise ( collège : titulaires) fixe la représentativité du syndicat pour 4 ans.
C'est à dire sa capacité à négocier ou signer des accords avec la Direction.
A plus de 10% de représentativité, un Organisation Syndicale, peut négocier et signer. Des accords signés par des syndicats totalisant 30%, ( à plusieurs) peuvent donner lieu à un référendum d'entreprise A 50% un syndicat peut signer seul et ce n'est pas opposable
C'était le cas à BPCE Sa, où l'UNSA représentant plus de 50% des voix à l'élection précédente, la Direction pouvait se limiter à une négociation avec ce syndicat, les autres signatures étant purement décoratives, lorsque l'UNSA avait signé !
Donc voter pour le Comité d'Entreprise c'est aussi ( souvent sans le savoir! ), pouvoir renforcer le débat démocratique et pouvoir faire pousser plus loin la pluralité dans les négociations.
Rappel :
lors de la précédente élection à BPCE Sa, la CFTC s'est placée à la deuxième position des Organisations syndicales avec 22.27%